– L’interdépendance des composants d’un projet, d’un document, d’une idée font qu’il est parfois bien plus efficace d’en faire une « carte » que de tenter de les mettre verbalement en relation.
– Vous l’avez expérimenté, dès que le menu du restaurant comporte plus de cinq ou six choix par plat, notre cerveau se met à patiner, à relire, à douter. Nous sommes, pour la plupart, fait pour traiter des situations dont le nombre de variables est limité. Il en va de même avec la complexité d’un projet ; notre matière grise, habituée à cela par la vie courante, a tendance à « masquer » la complexité en oubliant certains points qu’elle évalue comme secondaire, sur des critères peu défendables. Pour s’en sortir, il existe heureusement des méthodes. Quand la compréhension d’un système complexe d’idée requiert l’attention d’un groupe disparate, la meilleure à ce jour s’appelle le concept mapping.
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